Le projet « Sème Sauvage »
Le projet “Sème sauvage” a pour vocation de sensibiliser à l’utilisation des espèces sauvages et locales dans la végétalisation des espaces privés et publics, afin de favoriser la biodiversité. Il s’inscrit dans le cadre du Contrat Vert et Bleu piloté par Grenoble-Alpes-Métropole.
Sème sauvage » accompagne la mise en place d’un réseau de grainothèques de plantes sauvages grâce à :
- des outils pédagogiques : Livret pédagogique, fiches-espèces, guide de récolte et de semis, jardin sauvage, etc.
- des événements : Chantiers participatifs, ateliers, grainothèque mobile, stands
- des formation : à destination de toute organisation souhaitant mettre en place un espace Sème sauvage
Une grainothèque de plantes sauvages ?
Une grainothèque, c’est un espace où l’on peut venir librement prendre et déposer des graines dans le but de constituer une “collection” utilisable par tous. Le fonctionnement repose sur le troc, l‘échange et la confiance.
La grainothèque Sème sauvage met à disposition des graines de plantes sauvages locales, pour permettre à chacun de s’approvisionner en plantes sauvages et de participer à la préservation de la biodiversité.
Venez découvrir le projet Sème sauvage et échanger des graines
À la médiathèque de la Maison de la Nature et de l’Environnement de l’Isère (Grenoble)
- grainothèque Sème sauvage
- jardin Sème sauvage en libre accès
- outils pédagogiques
- documents empruntables (livres, DVD, jeux)
Dans le réseau des grainothèques Sème sauvage
- bibliothèque de l’Alpe d’Huez
- médiathèque Jules Verne à Domène,
- médiathèque l’Ellipse à Sassenage
- médiathèque Agnès Varda à l’Isle d’Abeau
- médiathèque La Passerelle à la Tour du Pin
- médiathèque l’Orangerie à St Ismier
- Ville de Saint Martin d’Hères
- Bibliothèque des Béalières à Meylan
- Médiathèque Départementale de l’Isère
- CAESUG du CNRS (Grenoble)
- médiathèque Paul Eluard à Fontaine
Pourquoi des plantes sauvages ?
Les plantes sauvages locales sont naturellement adaptées à leur territoire et nécessitent peu d’intervention. Elles sont par ailleurs très favorables à la biodiversité, puisqu’elles ont évolué et se sont spécialisées en interaction avec tout un cortège d’autres espèces locales.
Elles peuvent également avoir des usages alimentaires ou médicinaux, et être très esthétiques !
Installer des plantes sauvages dans les jardins, en jardinières, dans les cours ou sur les balcons participe ainsi à la Trame verte et bleue, c’est-à-dire à créer une continuité écologique qui permet de préserver et développer la biodiversité locale.
« Sème sauvage » et « Mange sauvage » !
Différentes actions sont proposées dans le cadre du programme « Mange sauvage » :
- ateliers sur les plantes sauvages locales comestibles
- formation « mettre en place un espace ou une grainothèque de plantes sauvages et comestibles »
- nouvelles fiches-espèces (voir l’onglet Guides, Fiches ci-dessous)
- aménagement d’un espace « sauvage comestible » dédié aux plantes comestibles dans le jardin Sème sauvage situé devant la MNEI.